vendredi 29 mars 2013

Pas de championnat du monde pour Lara Grangeon.....

Lara Grangeon sur le podium du 400 4nages lors des Championnats d'Europe d'Eindhoven en 2010.
Souffrant depuis l’automne dernier d’une tendinite à l’épaule, la spécialiste du 400m 4 nages Lara Grangeon. L’élève de Richard Martinez à Font-Romeu était de tous les grands Championnats depuis 2010, avec pour meilleur résultat une sixième place du 200 m 4 nages aux Championnats d’Europe 2010.
 (21 ans) ne participera pas aux Championnats de France (Rennes, 9-14 avril), sélectifs pour les Championnats du monde (Barcelone, 28 juillet-4 août). 

source : l'équipe

jeudi 28 mars 2013

Interview de Fabrice Pellerin pour la sortie de son livre "Accédez au sommet, le chemin est en vous"

Yannick Agnel et Fabrice Pellerin le 22 mars 2012 à Dunkerque au  Championnat de France


L'entraîneur de Yannick Agnel et Camille Muffat dévole ses méthodes de management dans un livre...

Avec neuf médailles glanées lors des derniers JO, le clan niçois connaît plutôt bien les mécanismes de la gagne au très haut niveau. Leur entraîneur Fabrice Pellerin délivre quelques-uns de ses secrets dans un livre, paru cette semaine:Accédez au sommet, le chemin est en vous. Des conseils qui dépassent largement le cadre de la natation.
N’avez-vous pas peur de dévoiler vos secrets aux autres entraîneurs?
Non. Je n’ai pas pensé à ça. Ce livre est destiné au grand public. Je m’appuie sur notre légitimité. Mais l’idée est d’en tirer des enseignements pour le rattacher à ce que chacun vit au quotidien dans son boulot, ses relations sociales, affectives. Dans mon laboratoire humain, j’ai observé quelque chose sur l’échec et le succès. Ça vaut le coup d’y penser. C’est transposable dans d’autres secteurs d’activité.
Vous voulez dire que vous auriez pu coacher dans un autre domaine?
Oui, vraiment. On me sollicite pour consulter dans les entreprises, pour animer des conférences dans les écoles. Des fédérations me sollicitent. Des coachs dans le tennis aussi. La société a bien identifié qu’il y avait des choses précieuses dans le sport qui peuvent servir de modèle. Au-delà de ce qu’on a vécu égoïstement dans notre petit coin, on peut partager des choses et pourquoi ne pas aider d’autres personnes à résoudre des problématiques.
Dans quel sport aimeriez-vous intervenir?
J’ai une passion pour les sports individuels. Tout dépendrait du sérieux du projet. Pour butiner ça ne m’intéresse pas. Les sports artistiques me branchent bien. Patinage, gymnastique... C’est riche, on peut jouer sur différents tableaux. L’esthétique notamment. On peut se démarquer, il y a une connotation psychologique importante. Travailler avec des musiciens me plairait aussi. 
Vous ne semblez aussi pas aimer la fausse modestie…
Chacun à son niveau peut avoir un objectif noble qui mérite d’être accompli. Il ne faut pas porter de jugement sur la valeur d’un objectif. Ce qui compte, c’est d’être honnête et précis avec ce qu’on veut. Quand on dit "je veux être champion olympique", ça peut ressembler à de la prétention. Celui qui veut être champion départemental peut passer pour le fainéant de service. Quand on dit qu’on veut être champion olympique, on accepte le risque d’être jugé. Notre société ne jure que par l’évaluation, la critique.
Cela vous agace-t-il?
Il n’y a pas de place pour la mesure. C’est toujours extrême. Quand ça va, il y a un débordement émotionnel qui stigmatise l’instant et qui laisse percevoir que c’était un moment accidentel. Il faut rester mesuré dans sa réaction de manière à pouvoir rééditer l’objectif. Cette modération,  j’ai pu l’observer chez les Américains. Pour eux la victoire n’est pas un exploit. On remet les compteurs à zéro et c’est reparti. En France, on n’en est pas encore à un partage des médailles d’or. On est sur le coup de l’émotion. Le jour où on aura deux ou trois Camille Muffat, on sautera moins parce qu’on sera fatigués de le faire (il rit). Mais on appréciera le moment, tout simplement.
Cette quête de sérénité aurait pu vous amener à déménager à l’étranger?
Par exemple, oui. On aurait baigné immédiatement dans ce mécanisme. Aujourd’hui, à force de travail et de conviction, on est arrivé à créer ce microcosme. Il faut l’entretenir, le développer. J’aurais pu aller dans les pays anglo-saxons. On m’a approché. On m’a fait savoir que j’avais le profil qui correspondait.
En 2006, vous avez pourtant failli arrêter?
En fait, jusque-là, je croyais que pour gagner, il y avait un déterminisme fort. Il fallait être grand, souple, supérieurement doté mentalement. Comme s’il fallait être une espèce hors norme. Et finalement j’ai appris au contact des nageurs que la vraie force peut résider ailleurs. Bien souvent, se cachent dans les particularismes les défauts des occasions d’être différent et plus fort encore. Django Reinhardt par exemple a développé une technique musicale par rapport à son handicap (il avait deux doigts invalides, ndlr). Aujourd’hui des guitaristes tâchent de reproduire son style.
Ne vous sentez-vous pas un peu seul en France avec vos méthodes? Et n’avez-vous pas peur de passer pour un gourou?
Non. Je ne veux pas donner de règles absolues. Je laisse la liberté aux gens. C’est un témoignage que je produis. Et puis, si on dit que je suis prétentieux dans la façon dont j’entraîne, eh bien je m’en fous. Ça me donnera une énergie folle parce que ça me montrera sur une voie différente. Et si elle est différente, par définition, ça mènera vers quelque chose de passionnant.
source : 20minutes

mercredi 27 mars 2013

Oussama Mellouli replonge !


Le double champion olympique tunisien, Oussama Mellouli, s'est remis à l'eau après une longue pause post-Jeux de Londres avec pour objectif de s'aligner aux Mondiaux de Barcelone (19 juillet - 4 août) sur ses deux distances, le 1500 m et le 10 km, dix ans après sa première médaille. «J'ai envie de faire ces Championnats. Ça marquera les dix ans de ma première médaille, aux Mondiaux de Barcelone en 2003. Et puis, c'est à côté. J'ai envie de faire les épreuves d'eau libre et le 1500 m aussi

«Après Londres, j'ai dit que j'étais prêt à sortir par la grande porte. Mais j'ai réévalué ma situation et je me suis fixé de nouveaux objectifs avec cette nouvelle passion qu'est l'eau libre, a-t-il reconnu. C'est sympa à mon âge et après la carrière que j'ai eue d'avoir ce genre de stimulus (...) Je maintiens ma forme, mais je ne suis pas en préparation intensive. A quatre mois des Mondiaux, je vais voir ce que ça donne et après commencer le cycle olympique sérieusement.» 


source : l'équipe.fr

Ligue des Champions de Water polo terminé pour Marseille et Montpellier ....


Les marseillais  ( éliminé) :

CN MARSEILLE 13 - VOULIAGMENI ( Grêce) 10

Ce huitième de finale illustre finalement plutôt bien la campagne européenne du Cercle des Nageurs de Marseille.

Capables de prendre l’avantage dans leur bassin face aux leaders des championnats d’Italie (Brescia, le 6 octobre, 9-7) ou encore d’Espagne (Barceloneta, le 23 janvier, 11-10) lors de la phase de poules, les Marseillais sont à chaque fois passés à côté de leur sujet hors de leurs bases.

Devant le leader et tenant du titre du championnat de Grèce, ils n’ont pas dérogé à la règle. "Prendre 16 buts à l’aller, c’était beaucoup trop, peste Olivier Chandieu. Bien sûr, le groupe est jeune, mais quand on est capable d’obtenir de tels résultats à domicile, on doit pouvoir faire mieux à l’extérieur. Le manque
d’expérience ne peut plus être une excuse même si je n’ai rien à reprocher à mes joueurs sur ce match."

"Perdre d’un but, c’est peu en championnat. Là, on rate la prolongation pour un but également mais surtout pour une somme de détails. Désormais, il ne nous reste plus que le championnat et on va tout faire pour reprendre le titre à Montpellier." estime Thibault Simon.

Les Montpelliérains ( Éliminés) :

Szeged Beton (Hongrie) 17 - 7 Montpellier





mardi 26 mars 2013

La route vers Barcelone a commencée ce week end avec les Championnats d'Espagne.




La route vers Barcelone 2013 a commencée ce week end avec les Championnats d'Espagne à Pontevedra ( Galice).
A cette occasion Rafael MUÑOZ PEREZ s'est qualifié pour les mondiaux de Barcelone sur 50 pap en réalisant la MPM de l'année (23.27). Il est ainsi le 1er qualifié du groupe de Romain BARNIER.

Pellerin sort son livre « Accéder au sommet, le chemin est en vous »


Entraineur des champions olympiques de natation Yannick Agnel et Camille Muffat, Fabrice Pellerin était l’invité des Grandes Gueules du Sport sur RMC à l’occasion de la sortie de son livre « Accéder au sommet, le chemin est en vous ». Il y livre notamment sa théorie de l’échec, souvent nécessaire pour avancer. « L’échec n’est pas un passage obligé. Mais on a souvent tendance, quel que soit notre domaine d’activité, à vouloir préserver ce que l’on a durement acquis, parce que finalement ce n’est pas mal. Vouloir faire les choses autrement, c’est aussi prendre le risque d’échouer. C’est dommage, parce que ne le faisant pas, on ne se prive de trouver peut-être de meilleures choses encore. Les moments de doutes que l’on a eus avec Camille (Muffat) et Yannick (Agnel), ont été des moments de reconstruction. Il faut être capable d’apprécier ces moments. »

source : rmc  

dimanche 24 mars 2013

Fabien GILOT : "J'avais oublié comment nager un 100 mètres !"






Champion olympique avec le relais 4 x 100 m l'été dernier à Londres, le Nordiste Fabien Gilot a vécu une reprise compliquée et perturbée par plusieurs opérations. L'automne a été douloureux et empli de doutes. Mais à la sortie de l'hiver, le Denaisien a retrouvé la forme à un petit mois des championnats de France.

Samedi, Fabien Gilot a remporté le 100 m nage libre du meeting de Nîmes en 49''79. Un temps qui le place dans le top 20 international de l'année, mais la satisfaction était ailleurs.

Cette victoire avait un goût très particulier et quand le Denaisien a touché en tête le mur de ce meeting national, les pensées ont été denses : « Je me suis dit "ça y est, je suis de retour". Cela faisait six mois que j'attendais de voir quelque chose dans l'eau, de voir du haut niveau. C'est une vraie satisfaction car depuis deux mois, je n'ai jamais autant bossé. Cela a été dur, notamment dans la tête, dans le fait d'accepter que je n'étais plus vraiment un sportif. C'est une belle surprise de revenir si vite. »

Résumé des épisodes précédents. En août, Fabien Gilot savoure son premier titre olympique avec le relais 4 x 100 m. À la sortie des Jeux, il avoue avoir traversé toute sa préparation avec une douleur à l'épaule. Il souffre d'une arthropathie, laquelle survient souvent après une surutilisation de l'articulation. Un mal connu des nageurs. La décision est prise d'opérer dès septembre, quitte à retarder la reprise de l'entraînement.

Le Nordiste subit une première anesthésie générale, mais il doit en revivre une seconde trois semaines plus tard pour une appendicite. Cette fois, le programme de la reprise est plus que retardée : « J'ai recommencé fin décembre par un footing à Denain. J'étais à la fois heureux de pouvoir refaire du sport mais j'ai vite compris aux sensations que je partais de loin. Je me disais aussi que si l'épaule ne tenait pas, ce serait peut-être la fin de ma carrière. »

Clairement, après quatre mois d'inactivité, le corps avait fondu : « Je n'étais plus un sportif. Mon bras était faible. J'avais perdu plein d'automatismes. J'ai dû repasser par tous les fondamentaux. Franchement, dans l'eau, j'avais un niveau départemental, pas plus ! » À tel point que Fabien et ses coachs étaient prêts à miser sur une saison blanche pour mieux rebondir en 2014. Mais le Nordiste est têtu : « Je me suis fixé des petits challenges pour avancer régulièrement et tout mettre en place petit à petit. Il y a eu un travail psychologique. Cette vie est excitante, je ne voulais pas que ça s'arrête. Et plus je comprenais que l'épaule tenait, plus je savais que j'allais revenir, même s'il était impossible de savoir quand. »

Après un meeting manqué à Nancy pour cause de gastro-entérite, sa reprise début mars à Marseille a été ratée, en un peu moins de 51 secondes : « J'ai tout fait à l'envers, j'avais oublié comment nager un 100 mètres ! Alors j'ai écouté les conseils, ça a payé. Aujourd'hui, je n'ai plus de douleurs et je peux refaire de la musculation sans souci. J'ai repassé des barres à 100 kg au développé couché, je n'avais jamais pu le faire en 2012. »

Trois semaines plus tard, le voilà en moins de 50 secondes, et requinqué avant les sélections nationales (à Rennes, du 9 au 14 avril) pour le championnat du monde de Barcelone fin juillet : « Je visais surtout une place dans le relais, mais maintenant, je me dis qu'il y a peut-être moyen de faire un peu plus et de viser l'individuel. Je pense pouvoir nager sous les 49'', on verra si ce sera suffisant pour passer. Vu d'où je reviens, ce serait un petit miracle. »

Le Nordiste a retenu une grande leçon de tout cela : « Je pense que si je suis revenu aussi vite, c'est grâce à l'hygiène de vie. Je suis un des plus sérieux, j'ai toujours fait très attention. On s'investit beaucoup et quelque part cela m'incite encore plus à croire aux valeurs du sport. »

source : La voix du Nord

vendredi 22 mars 2013

L'open EDF natation disparait !

L’Open de natation organisé les 6 et 7 juillet prochains par la fédération française de natation déménage du prestigieux site de la Croix Catelan dans le bois de Boulogne pour Vichy dans le Puy-de-Dôme. L’investissement financier devenait trop important pour la FFN en raison des conditions de location du site par le propriétaire, le Lagardère Paris Racing et le désengagement du partenaire EDF sur cette compétition. Les organisateurs se replient donc en Auvergne alors que la nouvelle piscine de Cannes avait également été envisagée. Vichy s’est engagé sur plusieurs années et accueillera même l’équipe de France lors de rassemblements. Le bassin Olympique de Vichy qui a notamment accueilli en stages l’équipe Américaine de natation dont Michael Phelps pour la préparation des Jeux Olympiques de Londres. L’ensemble de l’équipe de France sera présente pour l’Open début juillet à Vichy ainsi qu’une délégation italienne et russe.

source : RMC.sport

Camille Lacourt ne "s'inquiète pas"




Le dossiste catalan dédramatise ses deux disqualifications à Nîmes. Pour sa dernière compétition avant les Championnats de France à Rennes (9-14 avril), Camille Lacourt s'est signalé, le week-end dernier à Nîmes, en gagnant le 200 m dos mais aussi en étant disqualifié de la finale du 50 m et des séries du 100 m dos, ses deux distances de prédilection, pour 'nage incorrecte'. Conséquences de deux sorties de l'eau au-delà de la ligne réglementaire des 15 mètres. "Je me suis juste raté techniquement. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir, je me sens bien", a fait savoir, hier soir, le dossiste catalan par le biais de Jean-François Salessy, son agent à Marseille.
"Travail et discrétion"
Après avoir observé un break de plusieurs mois et zappé la saison en petit bassin, dans la foulée de son échec aux Jeux Olympiques de Londres, Camille Lacourt s'est véritablement remis à l'eau au début d'année. Pour un régime sec à base de "travail et de discrétion", aux dires de son agent, avant le rendez-vous rennais où le nageur devrait briser son silence et jouera sa qualification pour les Mondiaux de Barcelone (28 juillet-4 août). En Bretagne, le champion du monde du 100 m dos retrouvera Jérémy Stravius, avec qui il avait justement partagé la plus haute marche du podium à Shanghaï en 2011, et Benjamin Stasiulis, son nouveau coéquipier à Marseille. Soit trois dossistes pour seulement deux billets à destination de la capitale catalane. Pour l'heure, c'est Stravius qui est en avance puisque le Picard a signé, ce week-end à Amiens, la meilleure performance mondiale de l'année sur 100 m dos (53.70).

source : l'indépendant.fr

jeudi 21 mars 2013

L'entraîneur de l'équipe australienne de natation va démissionner


L'entraîneur de l'équipe australienne Leigh Nugent va démissionner après le fiasco de la natation australienne aux Jeux olympiques de Londres, a annoncé mercredi le président de la fédération australienne Barclay Nettlefold.

A Londres, la natation australienne, nation majeure de ce sport, n'a remporté qu'une seule médaille d'or, six d'argent et trois de bronze, son plus mauvais bilan depuis les JO de 1992.
Alcool, détournement de l'usage de médicaments et bizutages pourraient être les ingrédients du cocktail qui a conduit à ce flop, selon un rapport remis mi-février à la fédération australienne de natation.
Nettlefold a indiqué au cours d'une conférence de presse que Nugent, 61 ans, resterait dans l'encadrement de la fédération mais qu'il ne souhaitait pas rester plus longtemps entraîneur de la sélection australienne. "Leigh a toujours notre confiance", a déclaré Nettefold, précisant que Nugent ferait un break avant de s'occuper notamment des jeunes.
Le contrat de Nugent, nommé en 2009 et reconduit en 2010 pour trois ans supplémentaires, devait s'achever à la fin de l'année, avec une option supplémentaire de trois ans qui lui aurait permis d'aller jusqu'aux jeux Olympiques de Rio en 2016. Nugent a affirmé pour sa part que sa démission était une décision qui avait été dure à prendre, mais que c'était la bonne solution.
Un entraîneur intérimaire sera nommé avant les championnats d'Australie à Adelaide qui commenceront le 26 avril, a indiqué le président de la fédération australienne.
source : eurosport.fr

Bilan de ce week-end de compétition de bonne augure en vue des Frances.


Bilan des Marseillais a Nîmes 
Quand il a repris l’entraînement pour de bon en janvier, Fabien Gilot n’en menait pas large. «Après quatre mois d’arrêt et deux anesthésies générales (opérations de l’épaule et de l’appendicite), je n’étais plus un sportif, se souvient le champion olympique du 4x100m. Je n’avais plus de force, je me suis dit que je partais de loin.» Le Marseillais s’est donc rassuré samedi en remportant le 100m du meeting de Nîmes et en passant pour la première fois de la saison sous les 50 secondes (49’’79). Même s'il vise plutôt une place au sein du relais 4x100m aux prochains Championnats de France de Rennes (9-14 avril), une qualification individuelle ne parait plus impossible. Gilot y retrouvera ses camarades de club William Meynard (forfait pour la finale du 100m après s’être fait mal à la main) et Grégory Mallet. Le vice-champion olympique du 200m s’est amusé à nager son 200m en partant très lentement (1’50’’22 finalement), un peu à la manière des Niçois Yannick Agnel et Camille Muffat l’an passé en compétition de travail. «Je n’avais jamais fait ça, et je trouve que ça apporte beaucoup de confiance de voir qu’on peut bien terminer avant même la préparation terminale», réagissait Mallet. Camille Lacourt, vainqueur d’un 200m dos (2’4’’28) sur lequel il s’aventure rarement,«On a des projets un peu plus rigolos, avec un retour assez rapide histoire de changer un peu. Je n’ai pas d’inquiétude, avec l’affûtage, je sais que je serai bien aux Championnats de France, donc l’idée c’est de faire du plus ludique.» Mais camille Lacourt a été disqualifié pour «nage incorrecte» en séries du 100m dos, pour sa dernière compétition avant les Championnats de France (9-14 avril, à Rennes). Il a connu la même sanction sur 50m dos,  Giacomo Perez Dortona, son partenaire à Marseille s'est contenté des séries du 200m brasse (1er en 2'22"49). Meilleur temps des séries du 50 m papillon (24"26), Manaudou n'a pas pris le départ de la finale, enlevée par son camarade d'entraînement Fabien Gilot (24"61) devant Aurélien Leveaux (25"69). Son beau-frère Frédérick Bousquet a remporté le 50 m libre (22"57). Manaudou a remporté le 50 m dos en (25"69 )
Bilan de la Golden Lanes a Amiens 
Il avait déjà signé de bonnes performances cet hiver sur 100m dos (54’’04 puis 54’’03). Mais Jérémy Stravius a fait beaucoup mieux samedi dans sa piscine d’Amiens. Vainqueur du 100m dos (et donc d’au moins un huitième du jackpot de 60 000 euros des Golden Lanes, soit 7500 euros), le champion du monde 2011 de la spécialité a signé un chrono de 53’’70. «J’ai fait exactement ce que je voulais, j’ai fait une belle course», se félicitait Stravius, qui est allé plus vite cette année que le champion olympique Matt Grevers (53’’75) et que son adversaire aux prochains Championnats de France Camille Lacourt (54’’43 après plusieurs mois de break) .La dernière journée du meeting d'Amiens,  a confirmé la grande forme de Jérémy Stravius, à trois semaines des Championnats de France (9-14 avril à Rennes). Le Picard a établi un nouveau record personnel sur 200m 4 nages (1'59"87, contre 2'02"32 le 27 janvier à Nice), à seulement 29 centièmes du record de France détenu depuis 2009 par Fabien Horth, en polyuréthane. Il s'agit aussi de la meilleure performance mondiale de l'année sur la distance.
ps : plus d'info à venir sur le bilan de la Golden Lanes
Bilan d'Amaury Leveaux à Bordeaux
A trois semaines des Championnats de France (9-14 avril à Rennes), Amaury Leveaux s'est contenté de chronos modestes au meeting de Bordeaux. Il a terminé 2e du 100m en 50"76, dimanche, derrière Stéphane Debaere (50"76). Samedi, il s'est classé 3e du 200m (en 1'54"01), dans une finale remportée par son partenaire d'entraînement, le Tunisien Ahmed Mathlouti (1'51"42).
tous les résultats ici : http://www.liveffn.com/cgi-bin/liste_live.php
Source : spor.fr l'équipe

samedi 16 mars 2013

Un gros week-end de compétition !


Depuis hier matin,  le bassin olympique du Coliseum d'Amiens accueille jusqu'à dimanche la troisième et dernière étape du circuit des Golden Lanes,  l'ultime meeting international labellisé avant les France de Rennes dans trois semaines. Les tête d'affiche de ce meeting sont Mélanie Henique et Jérémy Stravius.  Autres grand  meetings nationaux labellisés – le meeting de Nîmes et du Languedoc-Roussillon, avec un plateaux exceptionnel Florent Manaudou, Camille Lacourt, Grégory Mallet etc...

Vous pouvez suivre en live les résultat ici -> http://www.liveffn.com/cgi-bin/liste_live.php

Et bien-sur tous le résumé de ce week-end lundi !!!!!!! 

mercredi 13 mars 2013

Natation synchonisée: Les hommes de la synchro mis hors jeu


 A Londres, seules les femmes ont été acceptées dans les bassins. Même si certains hommes sont au niveau...




Dans l’eau, les visages ne sont pas maquillés et les jambes pas vraiment épilées. Trois fois par semaine, ce sont bien des hommes qui enchaînent les portés, positions du flamand rose ou du voilier dans un coin de la piscine Vallerey à Paris. Sur la bande originale de «Pirates des Caraïbes», une dizaine de nageurs se plient aux instructions d'Isabelle Girault, l’entraîneur de l’unique ballet masculin de natation synchronisée français. Sur les 260.000 licenciés de la FFN, ils sont une poignée de passionnés «peut-être une trentaine à tout casser», glisse le coach, à pratiquer cette discipline phagocytée par les filles. Au niveau national, rien n’interdit les hommes de participer aux compétitions élites. En revanche, les portes leur sont fermées à l’échelon supérieur, ce qui les prive d’office de sélection pour des Mondiaux et les JO.
«Je trouve ça particulièrement anormal, s’indigne Tom, 30 ans, membre du ballet du «Paris Aquatique». Cet ancien nageur de haut niveau (en course) n’hésite pas à parler de «sexisme» pour dénoncer les fins de non recevoir de la fédération internationale. Le sujet agace forcément Christian, membre historique de la section crée en septembre 1999. «Pourquoi est-ce considéré comme un sport féminin? Parce que c’est un sport artistique. Et si c’est artistique, les mecs sont forcément des folles avec une plume dans le cul. C’est une question de mentalité. Il faut une certaine ouverture d’esprit pour faire comprendre qu’un sport artistique peut être réalisé par des hommes, sans qu’il y ait de connotation derrière.»
«De la pure discrimination»
A six mois des Jeux, aucun homme n’a le niveau en France pour rêver d’une place à Londres. Les meilleurs tricolores pointent au 11e rang national en duo, derrière dix équipes féminines. Mais la question s’est longtemps posée pourl’Américain Kenyon Smith ou l’Allemand Niklas Stoepel, ambassadeurs mondiaux de la discipline. Christian Donzé, le DTN français avance l’explication du nombre pour justifier ces  portes closes: «C’est un sport féminin qui ne compte pas assez de pratiquants pour être aux Jeux. Il faudrait que ce sport soit pratiqué sur plus de continents.»
Vu la faiblesse des effectifs, inutile d’envisager une compétition exclusivement masculine. En revanche, les hommes militent pour une épreuve mixte, comme cela se fait au niveau national. «Mais pour l’instant, la Fina ne veut rien savoir. Ils sont trop arrêtés. C’est de la pure discrimination», s’étonne l’entraîneur du Paris Aquatique. Ces dernières années, Christian a déjà été obligé de féminiser son nom pour participer à certaines compétitions. «Il n’y a pas d’onglet «Monsieur» dans les formulaires. Pourtant le règlement Fina, rédigé en anglais, dit «swimmers» et non «women only» pour désigner les nageurs. On parle bien des individus.» Et pas d’un genre en particulier.
L’argument artistique ne tient pas non plus pour tous les hommes concernés. «On a moins de grâce, c’est sûr, mais on montre autre chose car on est plus puissants», insiste Tom. Chez les juges, cela plaît à certains qui ont même tendance à surnoter l’originalité des nageurs masculins. «Cela permet de penser un autre jeu dans les chorégraphies, poursuit le coach. La mixité pourrait vraiment apporter une autre dimension à la synchro». Comme elle l’a déjà fait en patinage artistique (en couple), tennis (en double mixte), tir ou équitation aux JO.
source : 20minutes.fr

mardi 12 mars 2013

Un nouveau très grand encense Agnel

Thorpe voit Agnel sur 400m 

Interrogé mi-décembre, à l'occasion des Doha Goats, Ian Thorpe, la légende de la natation Australienne, Champion olympique et triple Champion du monde du 400m nage libre, à conseillé à Yannick Agnel de se concentrer sérieusement sur une épreuve dont il a battu le record du monde aux championnat de France d'Angers en petit bassin (3'32"25). 
Agnel a répondu :
-Ah oui, il a dit ça, alors je vais réfléchir. 

lundi 11 mars 2013

Retour de stage mouvementé pour Agnel et Muffat.


De retour d’un stage de deux semaines en Afrique du Sud, ce vendredi 2 Mars au matin (5h55), les champions olympiques,Yannick Agnel et Camille Muffat ont eu une journée très mouvementé, ils ont tout d'abord échappé de peu à un « no show », un avertissement (au bout de trois, un athlète est suspendu) dans la lutte antidopage, au terme d’un scénario rocambolesque. Sophie Kamoun, l’agent des deux athlètes, raconte : « Sur le logiciel, les athlètes doivent rentrer une adresse où ils passeront au moins une heure dans une journée. Camille avait rentré mon adresse sans préciser mon nom, ni le code de l’interphone. La contrôleuse était devant la maison depuis une petite heure à chercher quand elle a été renseignée par un voisin qui l’a guidé jusqu’à chez moi, explique-t-elle. Elle était sur le point de partir et cela aurait fait un « no show » pour Camille. Derrière, elle devait contrôler Yannick Agnel qui lui avait donné l’adresse de l’Elysée (où il a reçu le titre dechevalier de la Légion d’honneur) parce qu’il y était cet après-midi. Elle était sur le point de s’y rendre pour mettre un « no show » à Yannick aussi. On l’a échappé belle. Elle est finalement venue prendre un café à la maison, elle a fait les contrôles et tout s’est bien passé. »

Mais cette journée aura été marqué par les remises de légion d'honneur. Une distinction connue dans la famille Muffat puisque l’oncle de la nageuse, Pascal Muffat, l’a déjà reçue. « Je suis très honorée. Mon oncle (Pascal) l’a eu il y a quelques années. Il était très fier, a-t-elle déclarée. Pour un sportif, ce n’est pas ce qu’on recherche mais ça a beaucoup de valeur et je suis très contente d’avoir cette médaille. Je suis contente de retrouver tous les médaillés olympiques après tous les moments qu’on a passés ensemble. »
Une distinction particulière pour pour Yannick Agnel. « Appelez-moi chevalier Agnel ! C’était une cérémonie très détendue et très sympa. J’ai pu profiter de ma famille puisque j’ai passé deux semaines de stage en Afrique du Sud, rappelle le champion olympique du 200 mètres nage libre. C’était l’occasion de se retrouver autour d’une belle récompense. »  « On a encore des étoiles plein les yeux et c’était sympa de revoir tout le monde et de profiter de cet instant en famille. J’ai trouvé le président (François Hollande) très décontracté, remarque le champion olympique sur 200 mètres nage libre. C’est bien parce que ce genre de cérémonie est un peu fastidieuse. Là, c’était vraiment cool, l’ambiance était détendue. Il a eu un petit mot pour chacun et j’ai trouvé ça très attentionné. Je suis fier d’avoir porté les couleurs de mon pays. 

source : rmcsport.fr

dimanche 10 mars 2013

Confession d'Anthony Ervin « J’avais perdu ma liberté »

Guest star du meeting de Marseille le week-end dernier, Anthony Ervin est revenu sur son incroyable trajectoire. Champion olympique du 50m en 2000 avant de prendre sa retraite durant une dizaine d’années, l’Américain de 31 ans a ensuite connu une descente aux enfers. Dépression, drogue, tentative de suicide. Et come-back en 2011.


Anthony, flashback sur votre carrière. Pourquoi avoir décidé de prendre votre retraite en 2001 alors que vous étiez au sommet de votre art, et sacré successivement champion olympique du 50m puis champion du monde du 50 et 100m… Ervin : A ce moment-là, je me suis dit que j'avais atteint tous les buts que je pouvais me fixer. Je    n'avais plus d'objectifs en tant que compétiteur. Et puis, je n'étais pas très à l'aise avec le côté professionnel du sport et le fait d'être une célébrité. Je n'étais pas préparé pour ça. Ça n'a jamais fait partie de mes rêves et de mes objectifs. J’étais arrivé à un point où je me disais : mais pourquoi je fais ça ? J'avais perdu ma liberté. Et je n'avais plus aucun but dans ma vie.

S’arrêter fut donc un soulagement ?

Quand j'ai arrêté, je me suis senti tellement libre. La liberté absolue. Je me suis mis à la musique. J'ai pris du bon temps, j'ai fait des tas de boulots. J'ai bossé dans un magasin de musique, dans un magasin de tatouages, dans une cantine, j'ai gardé des chiens. J'ai fait vraiment un tas de trucs.

Et même essayé des choses illégales...

Oui, j'ai expérimenté des tas de choses. Des choses qui allaient à l'encontre des lois. Des choses pas très éthiques… (Il marque une pause) Mais j'ai énormément appris de ces expériences. J'avais besoin de ces leçons qui ont été parfois dures.

Qu’est-ce qui vous a fait redevenir un nageur et sortir de ces expériences ?

J’ai donné des cours de natation à des enfants et c’est ce qui m'a fait prendre conscience de mon amour pour la natation. Ca a été comme regarder dans une boule de cristal et je me suis revu gamin. Alors, je me suis mis à entraîner. Ça a été comme une renaissance pour moi. Je suis retourné à l'école, à l’université. Et ensuite, j'ai décidé de reprendre la natation un an et demi avant les sélections olympiques. C'est quelque chose de génial alors je continue.

A Marseille, vous avez nagé durant une quinzaine de jours aux côtés de Florent Manaudou. Que pensez-vous du Français, qui a été champion olympique comme vous du 50 m ?

Nager avec Flo et Fred (Bousquet) m'a permis d'apprendre beaucoup de ce qui fait leur force. Ce sont des athlètes incroyables. J'ai pu le constater dans l'eau mais aussi en musculation. J'ai vu ce qui lui a permis d'être champion olympique et ce qu'il fait aujourd'hui pour continuer. Florent est très jeune (rires). C'est presque effrayant de voir ce qu'il a déjà montré et de penser à son potentiel, à tout ce qu'il peut faire encore mieux.

Pensez-vous aux JO de 2016 à Rio ?

C'est dur à dire. En termes de compétition, je vois ça année après année. J'adorerais nager à Rio, mais si je ne peux pas le faire, on verra. Je veux donner mon maximum pour apprendre de la natation, essayer de digérer tout ça et de faire partager ma vision de la natation. J'espère que je vais pouvoir continuer, essayer de redevenir le meilleur. Je vais essayer de me qualifier pour les Mondiaux cet été, ensuite peut-être entrer en finale. Et pourquoi pas une médaille...
source : rmcsport

samedi 9 mars 2013

Mark Spitz encense Agnel !!!

Légende vivante de la natation et juré des prochains Trophées Laureus 2012, Mark Spitz ne tarit pas d’éloges sur Yannick Agnel. «Les JO de Londres ont été le théâtre de performances fantastiques et nous ont permis de connaître de merveilleux jeunes gens. Yannick Agnel est l’un d’entre eux. Le 200 m nage libre était l'une de mes spécialités. Je pense que sa performance en finale à Londres est incroyable. Terminer sa course à 1,79 sec du second en finale olympique est un événement unique dans la carrière d'un nageur. Je pense qu’il a vraiment le potentiel pour devenir un grand de la natation. Nous verrons bien au cours des prochaines années jusqu'où il sera capable d'aller», a commenté l’Américain aux 11 médailles olympiques (dont 9 en or).

source : sport24.fr

Résumé du meeting de la Méditerranée avec un plateau exceptionnel qui a tenu toutes ses promesses


 Le plateau du meeting de Marseille était exceptionnel ce week-end et a réunit en effet trois Américains ayant décroché l'or olympique (Nathan AdrianAnthony Ervin et Natalie Coughlin), des Britanniques conduits par l'ancien coach du CNM James Gibson (Francesca HalsallAmy SmithLiam Tancock) et une armada espagnole (Mireia Belmonte GarciaMelanie Costa SchmidRafael Munoz Perez).




-> L'Américain Nathan Adrian, champion olympique du 100m, a profité de cette effervescence pour nettement amélioré la meilleur performance mondiale de l'année, qui lui appartenait, sur 100m. Il s'est imposé en 48"11, contre 48''32 en janvier à Austin, dimanche à Marseille lors duMeeting Open de la Méditerranée. Il a devancé son compatriote Anthony Ervin(49''08) et Grégory Mallet (49"31). Fabien Gilot a fini 6e (50"65). «C'est une bonne course, je suis très satisfait, a commenté AdrianC’est aussi rapide que lors des Trials Olympiques 2012 (48''10). J’aurais adoré passer sous les 48’’ mais ça va. C’est un peu mieux qu’attendu. Je dois mieux gérer les 25 derniers mètres. J’ai passé une très bonne semaine, maintenant il est temps de rentrer à la maison et de me remettre au travail


-> Sur 50m papillon, Florent Manaudou et Frédérick Bousquet ont réalisé les deux meilleurs chronos mondiaux de l'année. Le champion olympique du 50m libre a devancé d'un centième son beau-frère (23"51 contre 23"52), dans des temps proches de leurs records personnels (respectivement 23"31 et 23"30). «D'habitude c'est Fred qui me bat d'un centième donc ça me va», s'est amusé Manaudou, qui apprécie le côté relax de l'épreuve, en comparaison avec le 50m. Bousquet s'est ainsi offert un bain de foule deux heures avant la finale, créant un embouteillage dans les tribunes pour signer des autographes. Aux Championnats de France de Rennes (9-14 avril), l'épreuve, placée en début de programme, pourrait permettre aux deux beaux-frères de valider leur billet pour les Championnats du monde de Barcelone (28/07-04/08), et donc de se présenter avec moins de stress au départ du 50m.


-> Camille Lacourt a commencé le week-end en s'offrant le 50m dos mais aussi le double champion du monde en titre, le Britannique Liam Tancock, en s'imposant en 24"94, vendredi lors de la première journée du Meeting de la Méditerranée à Marseille. Mais la suite du week end a été beaucoup plus difficile avec une grosse déception pour lui sur 100m dos, épreuve sur laquelle il détient le titre mondial (avec Jérémy Stravius). Devant son public, le Marseillais n'a réalisé que le 9e chrono des séries en 59''69, ne se qualifiant pas en finale. Ce 100dos a été dominées par l'Espagnol Aschwin Wildeboer (56''94). Il signe ainsi son plus mauvais chrono de l'année, encore à la recherche de sa meilleure forme puisqu'il n'a repris l'entraînement à plein temps que le 1er janvier. Le dimanche  il prendra la 7ème place de la finale du 50m papillon  (25"57). Samedi, il s'était aligné sur 100m papillon (disqualifié en finale nage incorrect) et avait nagé en dos les séries du 400m.


-> Florent Manaudou a été battu samedi sur 50m nage libre par Nathan Adrian. Le champion olympique (21''83) a été devancé par l'Américain (21''75), médaillé d'or à Londres sur 100 m. Un autre Américain, Anthony Ervin, champion olympique sur cette distance en 2000 à Sydney, a fini sur la troisième marche du podium (22''01). Frederick Bousquet a terminé à la quatrième place, en 22''14.

«Techniquement, cela n’a pas été aussi bon qu’à Nancy (où il avait réalisé 21''62), a commenté ManaudouC’est toujoursun peu compliqué de nager à domicile, dans da piscine d’entraînement. Adrian était plus fort aujourd’hui, je savais qu’il avait déjà fait 21’’70 cette année (en janvier à Austin), je savais que ça allait être un beau combat.» 

-> Un autre résident des Cercle des Nageurs de Marseille a supris il s'agit de Giacomo Perez Dortona sur le 200 mètres brasse (2'15"43). Le Français a devancé deux Italiens, Francesco Di Lecce (2'16"84) et Vittorio Coloretti (2'19"43), qui complètent le podium.

source : sport.fr / l'équipe.fr / eurosport.fr


Manaudou fait part de l'interruption de sa grossesse



L'annonce de sa retraite, rendue officielle lors du Grand Journal de Canal+ le 30 janvier, s'était accompagnée d'une heureuse nouvelle pour Laure Manaudou et son compagnon Frédérick Bousquet: l'attente d'un deuxième enfant. Malheureusement, l'ancienne championne, fraîchement retraitée, fait part ce mercredi de l'interruption de cette deuxième grossesse pour des raisons médicales."Je suis très attristée par cette nouvelle. J’ai appris de la pratique du sport de haut niveau qu’il n’y avait pas de chemin sans accident de parcours, c’est également vrai sur le plan personnel. Je sais que je ne suis pas seule dans ce cas, de nombreuses femmes ont du subir cette épreuve, et j’ai la chance d’être déjà maman. Frédérick Bousquet et moi allons affronter cette expérience de vie", écrit-elle dans un communiqué, demandant aux médias de respecter sa discrétion dans les semaines à venir sur ce sujet.

source : sport.fr